Nola Kellergan

Etienne Buyse

 

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Nola Kellergan ? Oui. Cette photo est un clin d’œil à cette jeune fille de 15 ans disparue, un après-midi, du village d’Aurora, dans le New Hampshire. C’est le mystère de sa disparition, après l’incendie de sa chambre,  que raconte Joël Dicker  dans La Vérité sur l’affaire Harry Quebert.
Ce roman paru en septembre 2012 aux éditions de Fallois-L’Âge d’Homme a reçu la même année le Grand prix du roman de l’Académie française. Ecriture de moyenne qualité mais un livre très accrochant. A lire.

Etienne BuyseCette photo est aussi un hommage – empli d’humilité – au  photographe américain Aaron Siskind (1903 – 1991).

On lira à son sujet l’article du Monde de décembre 2014 qui parle de poésie vertigineuse et complexe.
« Ses images sont avant tout des paysages intérieurs. »
« Siskind est surtout proche des peintres de l’école de New York (expressionnisme abstrait), fréquentant De Kooning, Franz Kline et bien d’autres. Sans vouloir faire de la peinture photographique, il partage avec ce groupe l’idée que l’œuvre reflète l’intériorité de l’auteur, bien plus que le monde extérieur ou un quelconque « sujet ».
« Le sujet de l’artiste, c’est lui-même, écrivait-il, et l’image est le résultat de la rencontre entre objet et artiste à l’intérieur des limites absolues de l’espace rectangulaire ou carré. »

Siskind

Aaron Siskind, ‘Chicago’ (1948).

 

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